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  Selon l’année de construction d’une maison, certaines problématiques particulières pourraient affecter sa qualité, son intégrité ou sa sécurité. Parmi les principales sources potentielles ou réelles de préoccupation, en voici cinq : L’amiante.   Les bâtiments construits entre 1920 et 1990 sont principalement touchés. Ils pourraient en contenir notamment, mais sans s’y limiter, dans l’isolant (vermiculite), les tuiles de plafond et de plancher, les bardeaux d’asphalte et le plâtre. Le plomb.   On pourrait en retrouver en concentration toxique dans la peinture des bâtiments d’avant 1990 et dans la plomberie d’eau potable des résidences bâties avant 1972. La pyrite.   Trouvé dans certains remblais granulaires sous les dalles de béton, ce minéral peut causer d’importants dommages si les conditions sont réunies pour provoquer la réaction chimique redoutée de sulfatation. Au Québec, le phénomène est notamment répandu en Montérégie, mais il est possible de le retrouver dans plusieurs autres

  Au Québec, nos quatre saisons mènent la vie dure aux surfaces de circulation, particulièrement celles en béton. Les principaux problèmes rencontrés sont la fissuration ainsi que l’éclatement et le soulèvement du béton causés par les effets des cycles de gel et de dégel. À cela, il faut ajouter l’effet abrasif et corrosif des sels déglaçants épandus généreusement tout au long de l’hiver. Dès l’automne et avant la saison hivernale, l’entretien des surfaces en béton permettra d’augmenter la durée de vie des balcons, escaliers et trottoirs. Il faut d’abord procéder au nettoyage des surfaces avec un balai-brosse ou encore avec un jet à haute pression. On doit aussi déloger avec des produits adaptés les taches de graisse, de rouille ainsi que la végétation ou les algues présentes. Il faut également en profiter pour réparer les fissures et autres défauts. Ensuite, selon l’état de la dalle, on procédera si requis à sa scarification chimique ou au moyen d’une rectifieuse à pierre de diamant